Vivre dans la maison des Caméléons est de moins en moins facile pour moi. Au début c’était comme le paradis après l’enfer. Je croyais que tout irait bien tout le temps. Maintenant je vois qu’il y a des hauts et des bas. Il y a des jours où j’aime bien tout le monde et il y a des jours où je ne supporte personne. Il y a des jours où je suis contente d’avoir un refuge ici et des jours où j’ai envie de courir dehors au milieu des dangers.